Il faudra s’armer de patience pour connaître la position du gouvernement au sujet des deux propositions de loi portées par le PAM, au sujet de la légalisation du cannabis et l’amnistie des cultivateurs de la plante. L’étude de la proposition de loi relative à l’amnistie des cultivateurs de cannabis a été ajournée, lors d’une réunion de la commission de justice à la deuxième chambre avec Mohamed Benabdelkader, ministre de la Justice. Déposée en 2015 par le PAM à la deuxième chambre, la proposition de loi relative à la légalisation du cannabis sera examinée au sein de la commission des secteurs productifs à la deuxième chambre, mais aucune date n’a été fixée pour le moment.

El Comité Judicial de la Cámara de Representantes de EE.UU. dio luz verde a un proyecto de ley que legalizaría la marihuana a nivel federal en el país, eliminándola de la lista de sustancias controladas, por lo que supera así un paso previo a la votación en el pleno de esa cámara. La legislación aprobada hoy (24-10) tiene una alta probabilidad de ser aprobada en la Cámara Baja, donde los demócratas tienen el control con 234 escaños, aunque se espera que enfrente una batalla más dura en el Senado, dominado por los republicanos, mayoritariamente contrarios a la legalización de la marihuana. (Véase también: EEUU da el primer paso para legalizar el cannabis en todo el país, el sector se dispara)

Hay esperanzas en el Congreso de sacar adelante la regularización de la marihuana de uso adulto en Colombia. El pasado 20 de julio, durante la instalación de la nueva legislatura, no solo llamó la atención Alejandro Ocampo, representante a la Cámara por el Valle (Pacto Histórico), quien apareció con cervezas y chocolates con marihuana, así como con unos zapatos hechos de fibra de cáñamo, sino que además miembros del mismo partido radicaron un proyecto de ley con el que se espera establecer las condiciones para la comercialización de la marihuana de uso adulto. En los últimos tres años, en el Congreso han cursado dos proyectos con los que se ha intentado modificar el artículo 49 de la Constitución, para permitir el uso adulto de la marihuana.

Malta won’t see a bill that introduces a path to clearing simple drug convictions from people’s criminal records until sometime next year. A spokesperson for the ministry of equality and reforms said that a public consultation would be “kickstarted in the coming months, with the aim of presenting legislative amendments next year”. Last year, parliament approved a sweeping cannabis reform, which, along with decriminalising cannabis for personal use, allowed anyone with a criminal record for cannabis possession to have it struck off. In June, Prime Minister Robert Abela said the government was seeking to consult with stakeholders on the possibility of extending that forgiveness to any person with a simple drug possession conviction. 

L'Istiqlal a accueilli avec satisfaction le projet de loi sur la légalisation du cannabis à des fins médicales. Mais, ce parti d'opposition a appelé le gouvernement à dépénaliser le plus vite possible la culture de cette plante qui couvre quelques 73.000 hectares dans le nord du Maroc. "Le gouvernement est appelé à dépénaliser rapidement la culture du cannabis", a déclaré Noureddine Moudiane, le président du groupe parlementaire de l'Istiqlal à la Chambre des représentants. L’autre priorité pour le parti de la Balance, a-t-il souligné, porte sur "une amnistie pure et simple" au profit d'un total de 30.000 cultivateurs poursuivis par la justice pour "culture illégale du kif". Noureddine Moudiane estime qu'actuellement "tous les cultivateurs du kif sont en liberté provisoire".

The contrast between the vibrant green of a cannabis field and the arid land nearby in Lebanon's Bekaa valley has for years raised a dilemma for the area's impoverished farmers. Cannabis is hardier, less thirsty and cheaper to grow than the region's other main crops like apples and potatoes, but it is also illegal - for now. Parliament will consider legalising its growth for medicinal use, but in the Bekaa, some people are unconvinced there will be a meaningful change. "It is like giving a dog a bone because people are hungry and can't bear it any more," said a cannabis farmer. "But whether they legalize it or not, the most important thing is to give an amnesty," he said. Farmers face prison terms of five years. (See also: How good is Lebanese cannabis? Scientists seek herbal remedies)

La légalisation du cannabis est un sujet complexe. Dernièrement, plusieurs personnalités prônant la recherche d’une solution réaliste et réalisable. S’agit-il d’une précampagne électorale pour séduire la population cible, notamment celle du nord du pays, ou d’une initiative sérieuse et audacieuse pour trouver une issue favorable à la question qui pèse toujours sur plusieurs familles du Rif? Mohamed Belmir, politologue, est catégorique à ce sujet : «C’est devenu une coutume à l’approche de chaque scrutin notamment législatif. Les partis veulent séduire les électeurs en jouant sur les sujets les plus préoccupants, notamment le calvaire des recherchés et la légalisation du cannabis. Une fois l’échéance électorale passée, ce sera le calme absolu et ces sujets ne seront évoqués que sporadiquement».

La Chambre des représentants a adopté le 26 mai au soir le projet de loi relatif à l’usage thérapeutique et industriel du cannabis par une majorité confortable, mais inhabituelle. Les groupes parlementaires ont tous présenté des arguments en faveur d’une légalisation de la plante. Tous sauf le PJD, paradoxalement à la tête de la majorité gouvernementale. Le projet de loi adopté devra être soumis à la Chambre des conseillers dans les tout prochains jours. Le Parlement promulguera le texte une fois qu’il sera adopté en Commission, puis en session plénière de la Chambre haute. (Lire aussi: Légalisation du cannabis : dernière ligne droite, des amendements vains et un PJD plus hostile que jamais)

If New Zealand votes to legalise cannabis in 2020’s binding referendum, we will have a unique opportunity on our hands. Creating a licit market from scratch means the government can legislate for particular outcomes, before the gates are open and the proverbial horse has bolted. As it relates to harm caused by drug laws, this means there is an opportunity to legislate and regulate a legal cannabis market so that communities who have suffered under prohibition benefit economically and socially from the licitmarket. Righting wrongs and closing gaps are best done alongside decriminalisation right at the outset. (See also: Regulating cannabis - a challenge we are more than up to)

The federal plan to legalize recreational marijuana does not include the general amnesty for past pot convictions some would like to see, says Public Safety Minister Ralph Goodale. Newly tabled legislation would allow people 18 and older to publicly possess up to 30 grams of dried cannabis, or its equivalent in non-dried form. But the Trudeau government is not considering a blanket pardon for people with criminal records for possessing small amounts of the drug, Goodale said in an interview. The government has also made it clear that the move to legalization by mid-2018 doesn’t mean lax law enforcement during the transition period. (See also: Marijuana legalization: What was Justin Trudeau smoking?)

Comme lors de la campagne électorale du scrutin du 4 septembre 2015, le PAM rejoue la carte de la culture du kif dans les régions concernées. Le Tracteur promet une grâce générale au profit de 40 000 personnes condamnées pour une telle activité, si la formation remportait le scrutin du 7 octobre. Faire miroiter la grâce générale ne constitue pas une nouveauté. Cela fait déjà quatre ans que le parti joue à fond cette carte. Le Tracteur multiplie en effet les actions réclamant la légalisation du cannabis et la levée des mandats d’arrêts contre les cultivateurs de kif en fuite.

Comme lors de la campagne électorale du scrutin du 4 septembre 2015, le PAM rejoue la carte de la culture du kif dans les régions concernées. Le Tracteur promet une grâce générale au profit de 40 000 personnes condamnées pour une telle activité, si la formation remportait le scrutin du 7 octobre. Faire miroiter la grâce générale ne constitue pas une nouveauté. Cela fait déjà quatre ans que le parti joue à fond cette carte. Le Tracteur multiplie en effet les actions réclamant la légalisation du cannabis et la levée des mandats d’arrêts contre les cultivateurs de kif en fuite.

Local governments looking to legalize marijuana across the nation are starting to think about racial equity—at a time when a multi-billion dollar cannabis industry is excluding the communities most devastated by the War on Drugs. As of 2017, more than 80 percent of U.S. marijuana business owners and founders were white, while only 10 percent were Hispanic, Latino or black, according to a survey by the Marijuana Business Daily. From Chicago, Illinois, to Saint Paul, Minnesota, officials are trying to support better minority entry into cannabis businesses. In some cases, that means giving black and brown people grants to set up shop. In others, it means undoing criminal records leftover from the drug's prohibition.

Los fiscales del condado de Los Ángeles (California) trabajan para eliminar o reducir hasta 66,000 condenas relacionadas con la marihuana, dictadas antes de que esta sustancia se legalizara en el estado en 2016. Para ello, colaboran con Code For America, una organización sin fines de lucro que les ofreció gratis tecnología capaz de localizar documentos judiciales acumulados en los registros hace años y posiblemente perdidos. Entre los beneficiados por el plan hay más de 20,000 latinos: muchos tendrán así un alivio respecto a antecedentes peligrosos, que les pueden abrir la vía de la deportación si no son ciudadanos estadounidenses, pues la marihuana se sigue considerando ilegal a nivel federal. 

Los Angeles moved this week to dismiss nearly 66,000 marijuana convictions, years after the state voted to legalize the drug. The county is working with a not-for-profit technology organization, Code for America, to use algorithms to identify eligible cases within decades-old court documents. “The dismissal of tens of thousands of old cannabis-related convictions in Los Angeles county will bring much-needed relief to communities of color that disproportionately suffered the unjust consequences of our nation’s drug laws,” said Jackie Lacey, the LA district attorney, in a statement. Prosecutors this week asked a superior court judge to dismiss 62,000 felony cannabis convictions for cases that date back to 1961.

The Bahamas National Commission on Marijuana has green-lighted recreational and medicinal marijuana, insisting that Bahamians should own 51 percent of the industry in a legalized framework. The preliminary report, which was leaked to the media, features recommendations from various subcommittees on the medical, economic, religious and recreational use of cannabis in The Bahamas. Several parts of the report have not yet been completed and remain under review by the commission. “The Bahamas must have ownership of the cannabis industry so that Bahamians can have their share of the pie,” the report states. (See also: Nearly 7,000 people arrested for cannabis since 2014 | Set cannabis tax below 10 percent, says commission)

Banning a plant with hundreds of industrial and medical uses was never going to work out well, but 2022 saw marijuana prohibition reach peak absurdity, not to mention peak confusion for consumers and new businesses trying to make sense of it all. At first glance, cannabis reform appears to be humming along smoothly. Maryland, Missouri and Rhode Island approved legalization initiatives in 2022 as states such as New Mexico and New York raced to establish regulations for legal recreational sales. New laws in mostly blue states expunged cannabis arrests from criminal records for thousands of people. President Joe Biden made moves to pardon federal marijuana prisoners and reconsider the federal “scheduling” of marijuana...

A la vielle de la promulgation de la loi sur les usages légaux, la Coordination des zones d'origine du cannabis, qui se compose d'agriculteurs et de descendants de cultivateurs de cannabis dans les régions historiques des provinces d'Al Hoceima et de Chefchaouen est mobilisée. Elle a, en effet, rencontré tous les partis politiques représentés à la Chambre des représentants pour leur présenter son mémorandum. La coordination défend aussi l’usage récréatif du cannabis. «Cela se fera à l'image des pays ayant légalisé le cannabis», explique ce membre qui ajoute qu’il s’agit d’un «marché noir que l’Etat doit exploiter, sinon il tombera entres les mains de barons, de gangs et de cartels». (Lire aussi: Abdelouafi Laftit sur la légalisation du cannabis : “Nous n'avons plus de temps à perdre”)

25th December of 2018 was a historical day for cannabis enthusiasts in Thailand. The (interim) Parliament voted, 166-to-0, to pass new amendments to the country’s Narcotics Act. These legislative changes will allow for the cultivation, importation/exportation, distribution, possession and use of cannabis for medical and research purposes in the Kingdom. The move is regarded by many as a big leap forward, especially as the country still retains a criminal penalty (one year of imprisonment) for the simple use of illicit drugs, including cannabis.

Mexico's President-elect Andres Manuel Lopez Obrador said that he would consider legalizing certain drugs as part of a broader strategy to fight poverty and crime. Speaking in the state of Zacatecas, Lopez Obrador said that a recent proposal from the country's defense minister, who backed legalization of opium for medicinal use, was important and that he would not rule out anything. "It's important what he proposed," Lopez Obrador said. "There should be a comprehensive approach to the terrible problem of insecurity and violence."