morocco

  • Los datos de detenciones por posesión de esta sustancia muestran que los españoles no han dejado de consumir hachís, pero que cada vez son más los que se decantan por la marihuana, la planta de la que se obtiene el polen cannábico. En los últimos 20 años, las detenciones por posesión de marihuana han pasado de 386 anuales a las 6.301 que se practicaron el año pasado. Un incremento del 1.500% que se explica con una sola palabra: autocultivo. En realidad el cultivo de marihuana en España no comenzó este siglo, sino con las tropas franquistas regresadas de Marruecos. La apertura de 'grow shops' fue poco a poco desplazando al hachís en la calle.

  • frontex smallThe EU is planning to combine migration, counter-terrorism, and security in its new repressive anti-drug agenda that could have far-reaching consequences for Morocco. The European Commission has been developing this new strategy far away from public scrutiny. The drastic new drug agenda was only revealed after 29 civil society organizations spoke up in protest of the EU’s shadowy dealings. “It’s worrying because drug policy is now captured in the security agenda, just as counter-terrorism and illegal migration, it’s all being put in the same package,” Tom Blickman from he Transnational Institute said. “Supply control policies don’t work, it has been tried for more than fifty years. They have not worked in the past, do not work now, and will not work in the future.” 

  • morocco cannabis2L'impact de la culture du cannabis sur la biodiversité et les ressources a été au centre d'un webinaire organisé à l'initiative de l'Alliance marocaine pour le climat et le développement durable, en collaboration avec l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Tom Blickman, chargé de projet senior au Transnational Institute, un think tank d’Amsterdam, a indiqué qu’au cours des 50 dernières années, les cultivateurs de cannabis marocains ont fait preuve d’une remarquable résilience aux tentatives du gouvernement d’éradiquer ou de réduire la culture du cannabis, ainsi que d’une capacité remarquable à s’adapter aux conditions changeantes du marché international. le défi est de trouver un modèle de développement durable qui inclut la culture du cannabis au Maroc.

  • morocco cannabisComme il fallait s’y attendre, le retrait par les Nations Unies du cannabis de la liste des stupéfiants a relancé le débat autour de sa légalisation au Maroc. Aujourd’hui, ce sont des voix de militants qui s’élèvent pour défendre le droit des agriculteurs du Nord à vivre de la culture de cette plante.Dans son numéro du mercredi 23 décembre, Al Ahdath Al Maghribia écrit que les appels se multiplient pour légaliser la culture du cannabis dans certaines régions du Nord du pays, surtout au regard de son apport social aux communautés locales. Les militants associatifs sont, en effet, de plus en plus nombreux à appeler à mettre en place une réglementation permettant d’organiser cette filière et, surtout, de cesser de considérer les agriculteurs qui en vivent comme des «hors-la-loi».

  • morocco cannabis issaguenFor the past three months, the Rif region in northern Morocco has been experiencing widespread protests and social unrest following the death of Mouhcine Fikri, a 31-year-old fish vendor who was crushed by the compactor of a garbage truck. Fikri was illegally selling swordfish, a species protected during the fall season, when police officers seized it and unlawfully threw it in the garbage truck without first providing official notification. In addition to opposing these questionable police procedures and their sometimes tragic consequences, the Rifans, supported by protesters in Rabat and Casablanca—Morocco’s capital and financial hub, respectively—have been marching against what is called in Maghreb Arabic the “hogra,” which translates as “disdain.”

  • morocco hashish dealingVoici une enquête qui va briser un tabou dans la consommation du canna­bis. A la question, «existe-t-il dans votre entourage proche ou connaissez-vous un ami ou un parent qui fume du canna­bis?», l’enquête rapporte une réponse sans la moindre ambigüité. C’est un non pour 65% des répondants. A l’inverse 32% affir­ment qu’elles connaissent des personnes qui en utilisent et 3% avouent ne pas le savoir. Compte tenu de l’interdiction de la consommation de haschich, les marocains semblent encore peu enclins d’en parler probablement par peur. La loi relative à la détention et à la consommation du canna­bis prévoit une peine de 2,5 mois à 1 an de prison. (Lire aussi: Pour l'OICS, le Maroc a été champion des saisies de cannabis en 2018)

  • morocco cannabis farmer ketama«Pourquoi ne pas réglementer la culture du kif, puis d’en faire un produit à utiliser dans les domaines médical et pharmaceutique, ainsi que cela se fait dans les pays européens?». C’est le député istiqlalien, Noureddine Mediane, qui a jeté ce pavé  dans la mare il y a trois mois. Il s’était adressé directement au ministre de l’Intérieur, Mohand Laenser et au ministre délégué à l’Intérieur, Charki Draiss lors d’une séance des questions orales devant la Chambre des représentants. Un autre député, Tarik Kabbaj de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), a été plus précis et est allé encore plus loin: «Avez-vous pensé à inclure la culture du kif dans le Plan Maroc Vert, et à créer des coopératives des exploitants de cette plante ?».

  • morocco flag cannabisLe360 a eu accès aux dispositions phares du projet loi sur usage légal du cannabis qui sera soumis au Conseil de gouvernement du jeudi 25 février 2021. La première législation du genre au Maroc n'autorise pas encore l'usage récréatif de cette substance. Le projet de loi sur la légalisation de l'usage légal du cannabis prévoit la création d'une Agence nationale spécialisée. Celle-ci sera la seule entité publique en charge de l'achat et de la vente de la plante à des sociétés l’utilisant pour des fins médicinales. "Cette agence nationale sera l'unique interlocuteur pour l'achat de la culture du cannabis auprès des paysans et la vente aux sociétés de transformation nationales et internationales installées au Maroc." (Lire aussi: Cannabis: comment l’Intérieur a coupé l’herbe sous le pied des partis)

  • morocco cannabis grower2The stakes for legalising cannabis in Morocco are rising. On 11 March, the Moroccan government approved Cannabis Legalization Framework, Bill 13-21, to regulate medical cannabis and industrial hemp. However, the bill still must be ratified by Parliament, and political debate on cannabis is intensifying amid the leadup to the September 2021 general elections. This is not the first attempt to legalise cannabis in Morocco. But unlike other efforts, this proposal has come directly from the sitting coalition government. "Although legalising the cultivation of medical cannabis and industrial is a first positive step, the proposal is limited because it doesn't include any regulatory framework on recreational cannabis," said Tom Blickman from the Transnational Institute.

  • Policy changes over the past five years or so have dramatically reshaped the global cannabis market. Not only has there been an unprecedented boom in medical markets, but following policy shifts in several jurisdictions a growing number of countries are also preparing for legal regulation of non-medical use. Such moves look set to bring a clear range of benefits in terms of health and human rights. As this groundbreaking Report, highlights, however, there are also serious concerns about the unfolding market dynamics.

    application pdfDownload the briefing (PDF)

  • morocco-cannabis3Quelques centaines de cultivateurs de kif ont répondu à l’appel lancé par le Parti authenticité et modernité (PAM), sur le point de finaliser un projet pour la légalisation de la culture du kif. Hakim Benchemass ouvre le bal : «Il est inconcevable que 48 000 personnes soient recherchées par la gendarmerie. Elles doivent bénéficier de la grâce pour ne plus vivre dans la peur. Tout le monde sait que dans ces terres on ne peut pas faire pousser des fraises». Mais, selon les agriculteurs, son application risque de poser un problème. Pour commencer, les intervenants du PAM ne font aucune allusion à la transformation de la plante en cannabis.

  • morocco-cannabis3Quelques centaines de cultivateurs de kif ont répondu à l’appel lancé par le Parti authenticité et modernité (PAM), sur le point de finaliser un projet pour la légalisation de la culture du kif. Hakim Benchemass ouvre le bal : «Il est inconcevable que 48 000 personnes soient recherchées par la gendarmerie. Elles doivent bénéficier de la grâce pour ne plus vivre dans la peur. Tout le monde sait que dans ces terres on ne peut pas faire pousser des fraises». Mais, selon les agriculteurs, son application risque de poser un problème. Pour commencer, les intervenants du PAM ne font aucune allusion à la transformation de la plante en cannabis.

  • morocco parliament cannabisIl faudra s’armer de patience pour connaître la position du gouvernement au sujet des deux propositions de loi portées par le PAM, au sujet de la légalisation du cannabis et l’amnistie des cultivateurs de la plante. L’étude de la proposition de loi relative à l’amnistie des cultivateurs de cannabis a été ajournée, lors d’une réunion de la commission de justice à la deuxième chambre avec Mohamed Benabdelkader, ministre de la Justice. Déposée en 2015 par le PAM à la deuxième chambre, la proposition de loi relative à la légalisation du cannabis sera examinée au sein de la commission des secteurs productifs à la deuxième chambre, mais aucune date n’a été fixée pour le moment.

  • morocco cannabis farmerL’avenir de la culture du cannabis et sa relation avec le développement territorial a été sous les projecteurs, samedi à Tanger, lors d’un colloque international organisé par la revue Tidighin des recherches amazighes et développement. Les intervenants à cette rencontre, organisée en collaboration avec le transnational institute (TNI), sous le thème « Quel avenir durable pour les producteurs du cannabis au Maroc après la promulgation de la loi 13-21 relative aux usages licites du cannabis?« , ont souligné que le Maroc, à travers la promulgation d’une loi régissant les usages licites du cannabis, parie sur l’avenir et donne l’opportunité aux régions concernées et à leurs habitants de s’engager dans un processus de développement global.

  • “L’augmentation rapide de la culture illicite de cannabis dans le Rif au cours des dernières décennies, ainsi que les mauvaises pratiques de conservation des sols, ont fait des ravages sur les forêts déjà menacées et les écosystèmes fragiles du Rif (déforestation, érosion des sols, épuisement de l’eau)”, déclare Tom Blickman, connaisseur de la région, chargé d’un projet senior au « Transnational insitute » à Amsterdam. Ce dernier fait partie des nombreux experts-intervenants lors du webinaire organisé jeudi 25 mars par l’IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature) et l’AMCDD (Alliance marocaine pour le climat et le développement durable), intitulé « légalisation du cannabis: quel impact sur la biodiversité et les ressources ? ».

  • morocco flag cannabis2Le Maroc veut rattraper son retard sur les pays ayant légalisé la culture du cannabis à des fins thérapeutiques et bénéficier ensuite des recettes financière. Le marché mondial de l’usage médicinal du cannabis «a connu une forte évolution». La moyenne de croissance annuelle, selon certaines prévisions, «est de 30% au niveau international et 60% en Europe». La légalisation ne signifie pas automatiquement une généralisation de la culture du kif sur l’ensemble du territoire. Après la publication du projet de loi au Bulletin officiel, un décret ministériel limitera les zones où cette activité fera l’objet d’une autorisation de l’Agence nationale de réglementation les activités liées au cannabis. (Lire aussi: Projet de loi sur le cannabis: les paysans devront se constituer en coopérative)

  • morocco cannabis moqueEt si le nouveau modèle de développement intégrait la légalisation du cannabis ? Ce jeudi 23 juillet, la CSMD a organisé un atelier de travail avec des chercheurs et des experts sur la question. Conscient que l’approche répressive envers les cultivateurs de cannabis n’aboutit à rien, le panel a axé sa réflexion sur les moyens de mieux exploiter les vertus thérapeutiques et récréatives de la plante. “Face à cette problématique, tout a été essayé et rien n’a marché. On ne peut pas aller à contre-courant. Il faut désormais faire un choix”, résume Camelia Benaskour, consultante en stratégie d’entreprise. (Lire aussi: Adapter la culture du kif à l’environnement, défi pour un nouveau modèle de développement)

  • morocco cannabis transportLos precios de las tierras en la población marroquí de Ketama y los municipios circundantes han experimentado un elevado aumento de precio tras la aprobación por el Gobierno del proyecto de ley que legaliza la plantación de cannabis. Numerosos empresarios se han interesado por la adquisición de terrenos ante el nuevo negocio que resultará de dicha legalización. Según informa el diario Es Assabah, el precio por hectárea Ketama y otras áreas aptas para el cultivo de cannabis se ha duplicado en las últimas semanas, informa Le360. Se trata de empresarios procedentes de Tánger, Tetuán, Casablanca y Kenitra. Sin embargo, no todos los propietarios están necesariamente dispuestos a ceder sus tierras.

  • spain guardia civil cannabisMarihuana más potente, más cara y de origen local. El cannabis que se consume en Europa cada vez coloca más. En consonancia, cuesta más. Y eso pese a que cada vez se produce más en el continente y por tanto los costes de transporte y riesgos de cruzar fronteras son menores, según la Unión Europea, que sigue señalando a España como la principal puerta de entrada a Europa del hachís que viene de Marruecos, aunque también admite que el mercado está cada vez más diversificado. La UE ha presentado su Informe sobre los mercados de drogas de la UE 2019, un documento que radiografía el estado de la cuestión del sector con un enfoque en clave más de seguridad y policial que otra cosa.

  • spain la linea trafficking“Pensábamos que el negocio iba a bajar, pero no. Han estado alijando de día y de noche. Sin nadie alrededor, han estado muy tranquilos”, dice un investigador que lucha contra el narcotráfico en Andalucía. Los datos le dan la razón. Las dos primeras semanas de confinamiento OCON Sur, el organismo creado por la Guardia Civil para la lucha contra el narco, detuvo a 58 personas y decomisó 5,5 toneladas de hachís, cifras muy similares a periodos anteriores al coronavirus. El Campo de Gibraltar sigue siendo el punto central desde el que se mueve buena parte de un pujante negocio del cannabis que, solo en España, genera unos 1.300 millones de euros de dinero negro.